WARNINGS ∙ homosexualité refoulée + pression familiale.
1 ∙ Pablo véhicule une image, de sorte à pouvoir garder les secrets. Il est du genre à séparer très distinctement les gens de son entourage : il y a des proches, il y a des collègues et les mondes ne peuvent se mélanger. Et c’est dans le secret qu’il se nourrit : il a quelques tatouages qu’il dissimule, comme il a quelques penchants pour la gente masculine qu’il étouffe aussi.
2 ∙ Étant l’aîné, il subit une pression toute particulière - et une pression qu’il alimente seul. Celle de rendre fier son père qui veut le prédestiner à être un magnat de la finance, d’où ses études en économie. Il a toujours travaillé très dur, tel un acharné pour pouvoir entrer à Columbia avec une bourse et c’est ça qu’il garde en écho dans sa tête.
3 ∙ Il vient d’une classe plutôt défavorisée, ses parents payant encore le prix de l’immigration depuis Puerto-Rico. Son père travaille à la banque, sa mère travaille comme femme de ménage chez de vieux riches qui arrêtent pas de lui montrer l’opulence qu’elle n’aura jamais. Il a sa famille à coeur, et le quartier populaire dans lequel il a grandi - mais au fur et à mesure des années, il sent qu’il s’éloigne, tel un transfuge de classe.
4 ∙ Il fait toujours très “propre” sur lui, adorant porter des costumes dont on peut penser qu’ils viennent de très grands couturiers mais il s’agit de contrefaçons qui arrivent à berner que ceux qui n’ont pas un pied dans la mode. Pour le week-end, il a quand même ce plaisir de porter des vêtements de détente et de relache.
5 ∙ En plus de ses études, il travaille depuis deux ans dans un Starbucks - multinationale connue de tous. Il connait les recettes par coeur, fait soit les ouvertures, soit les fermetures et offre son meilleur sourire de barista. Et lors de regards détournés, il offre toujours l’un de ses meilleurs cafés aux gens dans le besoin.
6 ∙ Il a cette impression souvent de toujours penser trop, penser tout le temps. L’impression d’être sans arrêt en apnée, alors des fois, ça lui prend, il veut juste oublier, il ne veut pas assumer, il ne veut pas y penser mais c’est dur.
7 ∙ Sportif, il prend énormément soin de son corps. De tractions et de pompes dans sa chambre de dortoir, jusqu’à aller squatter la piscine du campus, il lui est essentiel d’avoir sa dose hebdomadaire de dopamine.
8 ∙ Les quelques relations eues avec des filles se révèlent être un fiasco total au bout de quelques semaines, voire un mois. Il aime ce sentiment d’être dans une relation, d’être amoureux mais il ne sait y faire - et surtout quand il les regarde, il ne pense pas ça authentique. Quelque chose le titille, mais il ne veut pas se l’admettre.
1 ∙ Pablo véhicule une image, de sorte à pouvoir garder les secrets. Il est du genre à séparer très distinctement les gens de son entourage : il y a des proches, il y a des collègues et les mondes ne peuvent se mélanger. Et c’est dans le secret qu’il se nourrit : il a quelques tatouages qu’il dissimule, comme il a quelques penchants pour la gente masculine qu’il étouffe aussi.
2 ∙ Étant l’aîné, il subit une pression toute particulière - et une pression qu’il alimente seul. Celle de rendre fier son père qui veut le prédestiner à être un magnat de la finance, d’où ses études en économie. Il a toujours travaillé très dur, tel un acharné pour pouvoir entrer à Columbia avec une bourse et c’est ça qu’il garde en écho dans sa tête.
3 ∙ Il vient d’une classe plutôt défavorisée, ses parents payant encore le prix de l’immigration depuis Puerto-Rico. Son père travaille à la banque, sa mère travaille comme femme de ménage chez de vieux riches qui arrêtent pas de lui montrer l’opulence qu’elle n’aura jamais. Il a sa famille à coeur, et le quartier populaire dans lequel il a grandi - mais au fur et à mesure des années, il sent qu’il s’éloigne, tel un transfuge de classe.
4 ∙ Il fait toujours très “propre” sur lui, adorant porter des costumes dont on peut penser qu’ils viennent de très grands couturiers mais il s’agit de contrefaçons qui arrivent à berner que ceux qui n’ont pas un pied dans la mode. Pour le week-end, il a quand même ce plaisir de porter des vêtements de détente et de relache.
5 ∙ En plus de ses études, il travaille depuis deux ans dans un Starbucks - multinationale connue de tous. Il connait les recettes par coeur, fait soit les ouvertures, soit les fermetures et offre son meilleur sourire de barista. Et lors de regards détournés, il offre toujours l’un de ses meilleurs cafés aux gens dans le besoin.
6 ∙ Il a cette impression souvent de toujours penser trop, penser tout le temps. L’impression d’être sans arrêt en apnée, alors des fois, ça lui prend, il veut juste oublier, il ne veut pas assumer, il ne veut pas y penser mais c’est dur.
7 ∙ Sportif, il prend énormément soin de son corps. De tractions et de pompes dans sa chambre de dortoir, jusqu’à aller squatter la piscine du campus, il lui est essentiel d’avoir sa dose hebdomadaire de dopamine.
8 ∙ Les quelques relations eues avec des filles se révèlent être un fiasco total au bout de quelques semaines, voire un mois. Il aime ce sentiment d’être dans une relation, d’être amoureux mais il ne sait y faire - et surtout quand il les regarde, il ne pense pas ça authentique. Quelque chose le titille, mais il ne veut pas se l’admettre.
TRAVAILLEUR ∙ C’est le genre de mec à pouvoir enchainer sept heures de révisions sans rien dire, ou encore à rester à la bibliothèque universitaire jusqu’à tard le soir. Ou enchainer une journée de cours avec ses heures au salon de café. — DETERMINE ∙ Chaque matin à son réveil, il dresse une to-do list, des objectifs, des goals, qu’ils soient grands ou petits mais il s’y tient et chaque jour, il arrive à accomplir des choses - et des petites choses peuvent devenir des grandes choses. — INSATISFAIT ∙ Synonymes qui peuvent marcher chez Pablo : ingrat, ou encore perfectionniste car rien n’est jamais assez et tout peut être mieux, vous cernez le genre. — RIGIDE ∙ Il faudra une raison exceptionnellement et miraculeuse pour faire fléchir Pablo, le faire sortir de ses programmes et de ses choses prévues toujours trente mois plus tôt. Même lui a un talent d’achille. — REFLECHI ∙ Il sait se montrer débrouillard quand la situation l’exige : ça peut aller de créer un objet, détourner quelque chose ou jouer de son corps et de son sourire pour avoir ce qu’il veut. La fin justifie les moyens. — SECRET ∙ S’il ne vous connait pas, il vous mentira probablement par reflexe de défense. S’il vous connait un peu, il lâchera des semi-verités. En réalité, seul un cercle très restreint de gens savent des choses sur Pablo, et encore pas de quoi pouvoir le trahir.