une vie pour une vie; les cris, les pleurs, puis enfin, vient le bonheur. c'est ce qui aurait dû se passer chez les dixon. deuxième bébé venu combler cocon douillet. mais ce jour là, il n'est pas venu le bonheur, cédant sa place à dame douleur. bébé douceur, pointe le bout de son nez, et sans même s'en apercevoir sème le chaos. maman n'y résistera pas, et succombera. - c'est à cause de toi, tout ça, louie.
dans l'ombre de tes pas; papa, a pardonné quand elle, ne sait encore pas comment trouver la paix. fardeau sur les épaules, môme courbe le dos, pour lui, toujours tout pour lui. enfance rythmée par ses baisers, pater aux allures enjouées masque en réalité douleur qu'au fond, il enfoui.
enfants du ciel; aînée vient envelopper nymphe sous son aile. panse chacune de ses plaies, depuis l'aube c'était elles contre le reste du monde. pater décroche, alors cadette à margot s'accroche. accident vient arracher dernier pilier; trou béant dans poitrail atrophié.
éteint la lumière; espoir placé et déception vient la fracasser. dans ses yeux perçoit souvenirs d'aînée arrachée. difficile de contempler celui qui l'a abandonnée. rage dans l'abdomen gangrène et pourtant devant gamin myocarde vacille et se fait sensible.
il faisait beau dans tes yeux; amour juvénile inconditionnel, tandis qu'elle, ne sait pas aimer. insécurités ne font que réouvrir les plaies. s'auto-détruit, puis l'embarque dans sa chute. le perd, goût amer. le diamant de nouveau se terni, parce que lui aussi, il est parti.
douce france; s'envole vers utopie, où loin d'ici, môme revit. vol en éclat, ne se respecte pas, parce que jamais on ne l'a fait briller. diamant brut sali par le monde adulte. vie ruinée par horreurs de la vie, aux portes de l'enfer venu l'agenouiller. douce france offre à poupée une dernière chance; sur planches du cours florent s'empare de la peau d'une autre et s'invente différente.
aimer la rose et ses épines; traits pour traits ressemble à son aînée. regard dans le miroir à changer, poings menace de se briser contre reflet qu'elle peine à assumer. à travers billes noyées ne fait que la regarder; jusqu'à en oublier propre identité.
du noir nait la lumière; papa vers ténèbres s'enfoncent. oublie tout jusqu'à effacer moindre traces d'elles. maman et margot gommée, ne reste plus que louie, dernier pion sur l'échiquier. marie-jeanne pour apaiser le crâne et oublier maladie venu ôter tout souvenirs du passé. flashs dans l'encéphale viennent arracher quelques larmes; et aussitôt revient le noir. retour à la maison sans brin d'espoir, ne reste que malheur planqué dans le tiroir.
dans l'ombre de tes pas; papa, a pardonné quand elle, ne sait encore pas comment trouver la paix. fardeau sur les épaules, môme courbe le dos, pour lui, toujours tout pour lui. enfance rythmée par ses baisers, pater aux allures enjouées masque en réalité douleur qu'au fond, il enfoui.
enfants du ciel; aînée vient envelopper nymphe sous son aile. panse chacune de ses plaies, depuis l'aube c'était elles contre le reste du monde. pater décroche, alors cadette à margot s'accroche. accident vient arracher dernier pilier; trou béant dans poitrail atrophié.
éteint la lumière; espoir placé et déception vient la fracasser. dans ses yeux perçoit souvenirs d'aînée arrachée. difficile de contempler celui qui l'a abandonnée. rage dans l'abdomen gangrène et pourtant devant gamin myocarde vacille et se fait sensible.
il faisait beau dans tes yeux; amour juvénile inconditionnel, tandis qu'elle, ne sait pas aimer. insécurités ne font que réouvrir les plaies. s'auto-détruit, puis l'embarque dans sa chute. le perd, goût amer. le diamant de nouveau se terni, parce que lui aussi, il est parti.
douce france; s'envole vers utopie, où loin d'ici, môme revit. vol en éclat, ne se respecte pas, parce que jamais on ne l'a fait briller. diamant brut sali par le monde adulte. vie ruinée par horreurs de la vie, aux portes de l'enfer venu l'agenouiller. douce france offre à poupée une dernière chance; sur planches du cours florent s'empare de la peau d'une autre et s'invente différente.
aimer la rose et ses épines; traits pour traits ressemble à son aînée. regard dans le miroir à changer, poings menace de se briser contre reflet qu'elle peine à assumer. à travers billes noyées ne fait que la regarder; jusqu'à en oublier propre identité.
du noir nait la lumière; papa vers ténèbres s'enfoncent. oublie tout jusqu'à effacer moindre traces d'elles. maman et margot gommée, ne reste plus que louie, dernier pion sur l'échiquier. marie-jeanne pour apaiser le crâne et oublier maladie venu ôter tout souvenirs du passé. flashs dans l'encéphale viennent arracher quelques larmes; et aussitôt revient le noir. retour à la maison sans brin d'espoir, ne reste que malheur planqué dans le tiroir.
douce ∙ caresse de la brise matinale sur la peau, murmure suave qui enveloppe l'âme. — brisée ∙ peu avare de paroles sans âme, observe la gamine. tapis dans le fond, du coin de l'oeil, rictus rieur comme dernière arme. — brillante ∙ caboche fulmine; mille idées à la minute dans le regard s'illuminent. — solaire ∙ de celles qui détiennent le feu sacré qui vous éclaire. elle danse louie, telle la flamme qui grandit au creux du foyer. — anxieuse ∙ visage jamais entier, la lionne ne rugit qu'à moitié tandis que tout son être, l'appelle à s'envoler. — impulsive ∙feu folet; flamme danse au coeur du brasier sans jamais s'arrêter.