De la visite ? [Pv: Cam Pearson]
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Abonnés : 50
Dollars : 71
Faceclaim : Keanu Reeves
Origines : Américaines
Crédits : Wankyuniverse sur Tumblr
Mode de jeu : Rp entre court et moyennement long
Activité: 7j sur 7
2 à 3 rp max en même temps
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2 à 3 rp max en même temps
Date de naissance : 31/10/1962
Lieu de naissance : New York
Age : 62
Occupation : Politicien
Quartier d'habitation : Greenwich Village
Type d'habitation : Maison
Situation financière : $$$
Situation sentimentale : En couple
Orientations : Hétérosexuel
Libre : Ne supporte pas tout ce qui est sucré / A une passion pour les furets, mais la garde bien cachée
No warnings
No mode de jeu
No triggers
TW : Relation familial conflictuelle / Alcool
Horace avait bien commencé son début de journée. En effet, comme tout les matins, il avait embrassé sa femme sur le front en se levant, réflexe qu’il avait depuis la disparition de celui dont il n’arrivait plus à prononcer le nom. C’était étrange, car même s’il avait encore de bonnes relations avec sa femme, il n’arrivait plus à l’embrasser affectueusement sur ses lèvres. Remplaçant cette marque d’affection par un baisé sur le front.
Puis, il s’était dirigé vers son dressing, seul plaisir coupable qu’était le matérialisme chez lui. Mais seulement pour la garde de robe. Qui était constituée de nombreux costumes trois pièces. Il aimait passer son tant chez son tailleur à choisir le tissu d’un nouvel ensemble. Aujourd’hui, le politicien qu’il était n’avait pas de journée chargée. Ni d’apparition publique. De ce fait, il décida de mettre le costume qu’il affectionnait tout particulièrement. Le full black, qui lui donnait une allure de diable sorti de sa boite, avec chemise, veste, pantalon, gilet, chaussures, et cravate noire. Ainsi que ses cheveux mi-longs noirs bien plaqué en arrière avec du gel. Sauf que ce costume n’était pas bon pour sa réputation. Car il ressemblait a un requin sans âme comme cela. Pas ouf pour obtenir les voix des électeurs. Pourtant, il le portait principalement le soir lors de soirée. Mais là, comme il allait travaillait au bureau à l’abri des regards, il s’était permis un petit plaisir coupable en l’enfilant.
Une fois prêt, il grimpa dans sa berline noire avec chauffeur qui l’emmena au coffee shop le plus près pour commander un café latte. S’étant nourrit de café noir toute sa vie, à raison de presque trois cafetières entière par jour, son estomac était devenu fragile, du coup, il était passé au latte pour pouvoir continuer sa consommation, bien moindre aujourd’hui, de caféine.
Arrivé au bureau, il ne salua personne, comme à son habitude et directement après avoir jeté son gobelet de café vide, il se dirigea vers son meuble à alcool, situé dans la partie petit salon du bureau, pour se servir un whisky avec des glaçons. Un whisky de bon matin me direz-vous ? En effet, c’était un autre effet de la disparition de son fils, Sullivan. Il s’était mis à boire, autant pour oublié sa peine que pour continuer à avancer. Une fois le verre de servit, il s’assit à son bureau et débuta le travail.
Sauf que un peu avant midi, sa secrétaire entra dans son bureau.
« Qui a-t-il Cerise ? »
[Cerise] « Eh bien… Votre fille est là. »
« Ma fille ? Bien… Faites là entrer… »
Celle-ci repartie vers son propre bureau et Horace avala une lampée de whisky pour se donner du courage. Il n’aimait pas avoir affaire à ses enfants. Encore que Cam, ça allait. C’était surtout avec Maxwell qu’il avait le plus de mal. Il soupira intérieurement et quand il senti le regard de sa seule fille sur lui, il prit la parole, sans la regarder.
« Que viens-tu faire ici ? J’ai du travail, tu sais ? »
Horace avait bien commencé son début de journée. En effet, comme tout les matins, il avait embrassé sa femme sur le front en se levant, réflexe qu’il avait depuis la disparition de celui dont il n’arrivait plus à prononcer le nom. C’était étrange, car même s’il avait encore de bonnes relations avec sa femme, il n’arrivait plus à l’embrasser affectueusement sur ses lèvres. Remplaçant cette marque d’affection par un baisé sur le front.
Puis, il s’était dirigé vers son dressing, seul plaisir coupable qu’était le matérialisme chez lui. Mais seulement pour la garde de robe. Qui était constituée de nombreux costumes trois pièces. Il aimait passer son tant chez son tailleur à choisir le tissu d’un nouvel ensemble. Aujourd’hui, le politicien qu’il était n’avait pas de journée chargée. Ni d’apparition publique. De ce fait, il décida de mettre le costume qu’il affectionnait tout particulièrement. Le full black, qui lui donnait une allure de diable sorti de sa boite, avec chemise, veste, pantalon, gilet, chaussures, et cravate noire. Ainsi que ses cheveux mi-longs noirs bien plaqué en arrière avec du gel. Sauf que ce costume n’était pas bon pour sa réputation. Car il ressemblait a un requin sans âme comme cela. Pas ouf pour obtenir les voix des électeurs. Pourtant, il le portait principalement le soir lors de soirée. Mais là, comme il allait travaillait au bureau à l’abri des regards, il s’était permis un petit plaisir coupable en l’enfilant.
Une fois prêt, il grimpa dans sa berline noire avec chauffeur qui l’emmena au coffee shop le plus près pour commander un café latte. S’étant nourrit de café noir toute sa vie, à raison de presque trois cafetières entière par jour, son estomac était devenu fragile, du coup, il était passé au latte pour pouvoir continuer sa consommation, bien moindre aujourd’hui, de caféine.
Arrivé au bureau, il ne salua personne, comme à son habitude et directement après avoir jeté son gobelet de café vide, il se dirigea vers son meuble à alcool, situé dans la partie petit salon du bureau, pour se servir un whisky avec des glaçons. Un whisky de bon matin me direz-vous ? En effet, c’était un autre effet de la disparition de son fils, Sullivan. Il s’était mis à boire, autant pour oublié sa peine que pour continuer à avancer. Une fois le verre de servit, il s’assit à son bureau et débuta le travail.
Sauf que un peu avant midi, sa secrétaire entra dans son bureau.
« Qui a-t-il Cerise ? »
[Cerise] « Eh bien… Votre fille est là. »
« Ma fille ? Bien… Faites là entrer… »
Celle-ci repartie vers son propre bureau et Horace avala une lampée de whisky pour se donner du courage. Il n’aimait pas avoir affaire à ses enfants. Encore que Cam, ça allait. C’était surtout avec Maxwell qu’il avait le plus de mal. Il soupira intérieurement et quand il senti le regard de sa seule fille sur lui, il prit la parole, sans la regarder.
« Que viens-tu faire ici ? J’ai du travail, tu sais ? »
Dim 25 Aoû 2024 - 9:47
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Origines : madelyn est anglaise et allemande.
Crédits : labxnairs.
Mode de jeu : les sms, les rps, j'aime tout. Les réponses moyennes ou longues, selon l'inspiration.
Date de naissance : 31/12/1997
Lieu de naissance : new york.
Age : 26
Occupation : étudiante en psychologie.
Quartier d'habitation : Upper East Side
Type d'habitation : Penthouse
Situation financière : $$$$
Situation sentimentale : libre comme l'air.
Orientations : purement hétérosexuelle.
Image :
Libre : Camryn Rose Pearson, de son nom complet, Princesse née avec une cuillère en argent dans le bouche, mais qui a aujourd'hui l'impression d'être déchue, à cause de l'indifférence de ses parents à son égard.
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No mode de jeu
No triggers
TW : Relation familial conflictuelle, disparition, alcool
Elle a l'impression que c'est toujours la même chose, Camryn. Que rien ne change. Et ça depuis le jour de la disparition de son frère ainé. Elle passe son temps à courir après ses parents, la blondinette, alors qu'eux, ils passent leur temps à courir après un fantôme. L'image d'une personne qui a été, mais qui n'est désormais plus là... et qui ne serait peut-être plus jamais de retour. Parce que sans vouloir jouer la carte du cynisme, après toutes ces années, il risque de ne plus revenir, l'ainé de la fratrie. Sans doute ne fait-il plus parti de ce monde. C'est à cette conclusion qu'elle en est venue, à contrecoeur, Cam, tentant de se montrer réaliste. Plus d'une décennie sans le moindre signe de vie. Même en voulant disparaitre volontairement, c'est pratiquement impossible de ne pas laisser la moindre trace. Elle le sait, la jeune Pearson, c'est un fait et ça ne sort pas de nul part. Cette pensée la rend triste, mais elle sait aussi que la vie doit continuer. Contrairement à ses deux parents. Ils ne vivent plus, eux. Ils courent après un fantôme et en oublie les vivants et ça, elle ne le supporte pas, Camryn. Alors en bonne idiote qu'elle peut faire, elle tente d'attirer l'attention de ses parents par tous les moyens possibles. Même en frôlant l'illégalité et en jouant sur toutes les actions qui auraient dans d'autres circonstances mis en colère ses parents. Aujourd'hui, elle décide pourtant une autre approche. La plus logique qui soit, certainement. Se rendre au boulot de son paternel et lui demander de venir prendre le déjeuner avec elle.
Lorsqu'elle arrive au bureau, elle précise à la secrétaire qu'elle veut voir son père et insiste, lorsque cette dernière lui dit qu'il est occupé. Cam, elle en a rien à foutre qu'il soit soi-disant occupé. Il l'est toujours, alors ça ne change strictement rien à ses yeux. Alors même si la secrétaire lui avait dit un second non, elle aurait haussées les épaules et se serait rendu dans le bureau du Pearson, sans y être invitée. Toutefois, elle n'a pas besoin de jouer la carte de l'arrogance ou de l'impolitesse et elle suit la demoiselle jusque dans la grande pièce qui sert de bureau à son père. Elle est calme, Camryn, mais son calme se dissipe rapidement, lorsqu'elle fait face à un Horace Pearson qui n'ose même pas lever un oeil vers elle. Aux paroles de l'homme, un léger rire sardonique s'échappe de la gorge de la blondinette. « Ah bon, toi, du travail ? J'ai peine à y croire. » Qu'elle lance avec amertume, tout en levant les yeux vers le ciel. « C'est drôle, le fait que tu sois dans ton bureau ne me laissait pas présumé que tu avais du travail. » Qu'elle ajoute, toujours sur le même ton. Elle est venue pour l'inviter à manger et la première chose qu'il lui dit, c'est qu'il a du travail, avant même qu'elle ne puisse l'invité. Elle était calme, là elle est énervée et il est le seul fautif. Comme toujours. En tout cas, à ses yeux à elle. « T'es peut-être pas au courant, Horace, mais y a des trucs plus importants que ton boulot. Tes gosses, par exemple, mais ça tu t'en fous. Je sais même pas pourquoi je viens perdre mon temps ici, alors que c'est toujours la même chanson. » Elle était calme, mais là, elle laisse ses émotions la guidée, Cam. Parce qu'elle en a marre de tout ça. De ne plus avoir l'impression d'avoir de l'importance ou même d'exister, aux yeux de ses parents.
Lorsqu'elle arrive au bureau, elle précise à la secrétaire qu'elle veut voir son père et insiste, lorsque cette dernière lui dit qu'il est occupé. Cam, elle en a rien à foutre qu'il soit soi-disant occupé. Il l'est toujours, alors ça ne change strictement rien à ses yeux. Alors même si la secrétaire lui avait dit un second non, elle aurait haussées les épaules et se serait rendu dans le bureau du Pearson, sans y être invitée. Toutefois, elle n'a pas besoin de jouer la carte de l'arrogance ou de l'impolitesse et elle suit la demoiselle jusque dans la grande pièce qui sert de bureau à son père. Elle est calme, Camryn, mais son calme se dissipe rapidement, lorsqu'elle fait face à un Horace Pearson qui n'ose même pas lever un oeil vers elle. Aux paroles de l'homme, un léger rire sardonique s'échappe de la gorge de la blondinette. « Ah bon, toi, du travail ? J'ai peine à y croire. » Qu'elle lance avec amertume, tout en levant les yeux vers le ciel. « C'est drôle, le fait que tu sois dans ton bureau ne me laissait pas présumé que tu avais du travail. » Qu'elle ajoute, toujours sur le même ton. Elle est venue pour l'inviter à manger et la première chose qu'il lui dit, c'est qu'il a du travail, avant même qu'elle ne puisse l'invité. Elle était calme, là elle est énervée et il est le seul fautif. Comme toujours. En tout cas, à ses yeux à elle. « T'es peut-être pas au courant, Horace, mais y a des trucs plus importants que ton boulot. Tes gosses, par exemple, mais ça tu t'en fous. Je sais même pas pourquoi je viens perdre mon temps ici, alors que c'est toujours la même chanson. » Elle était calme, mais là, elle laisse ses émotions la guidée, Cam. Parce qu'elle en a marre de tout ça. De ne plus avoir l'impression d'avoir de l'importance ou même d'exister, aux yeux de ses parents.
Mer 18 Sep 2024 - 16:18
Horace Pearsonconnect with linkedin
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Origines
Crédits
En ligne
Abonnés : 50
Dollars : 71
Faceclaim : Keanu Reeves
Origines : Américaines
Crédits : Wankyuniverse sur Tumblr
Mode de jeu : Rp entre court et moyennement long
Activité: 7j sur 7
2 à 3 rp max en même temps
Activité: 7j sur 7
2 à 3 rp max en même temps
Date de naissance : 31/10/1962
Lieu de naissance : New York
Age : 62
Occupation : Politicien
Quartier d'habitation : Greenwich Village
Type d'habitation : Maison
Situation financière : $$$
Situation sentimentale : En couple
Orientations : Hétérosexuel
Libre : Ne supporte pas tout ce qui est sucré / A une passion pour les furets, mais la garde bien cachée
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No triggers
TW : Relation conflictuelle / Alcool / Disparition
Au moment ou Cam, sa fille commença à parler, ce fut le moment qu’Horace choisi pour relever le regard vers elle. Parmi tout ses enfants, c’était la seule avec qui il arrivait encore un peu a discuter sans vraiment de dispute violente. Il devrait le savoir pourtant, alors pourquoi il gâchait toujours tout ? Posant un regard observateur sur elle. Cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vu en vrai. Et il fallait qu’il admette une chose, c’est que sa fille était une belle jeune femme. Elle ressemblait de plus en plus à sa mère étant jeune. Mais alors, ses paroles acerbes, marque de fabrique des Pearson, l’atteignit de plein fouet.
Il se rappelait alors la dernière discussion par SMS qu’il avait eu avec elle. Elle lui avait demandé pourquoi il la suivait sur les réseaux sociaux aussi soudainement. Finissant cette discussion en disant qu’il n’était pas prêt de parler de ce qui n’allait pas chez lui, de ce qui lui pesait sur le cœur. Même si c’était… Très évident. Sullivan… Et sa disparition. Cam avait comprit qu’il n’était pas prêt, et avait acceptée de lui laisser le temps d’être prêt à en parler. Alors il se dit qu’il devait lui aussi faire des efforts, du moins, avec elle. Et essayait d’arrêter de l’éloigner de lui encore plus. Il devait essayer de se rapprocher d’elle. Il lui devait bien ça. Et puis, peut-être que grâce à cela, il allait réussir à passer outre sa douleur ? Alors il soupira profondément, se passant une main dans les cheveux, de l’autre, il but une autre lampée de whisky et reposa le verre à moitié vide sur le bureau. Pour plonger ses yeux noirs dans ceux de sa fille. Un petit sourire triste se dessina sur son visage.
« Je suis désolé Cam’. Je vais recommencer… »
Il ferma les yeux quelques secondes, et prit une profonde aspiration. Allez Horace, tu pouvais le faire. Tu peux te montrer sympathique et intéressé par tes enfants. Après tout, quand ils étaient tout petits, tu étais comme ça avec eux.
« Que me vaut le plaisir de ta visite, ma fille ? »
Au moment ou Cam, sa fille commença à parler, ce fut le moment qu’Horace choisi pour relever le regard vers elle. Parmi tout ses enfants, c’était la seule avec qui il arrivait encore un peu a discuter sans vraiment de dispute violente. Il devrait le savoir pourtant, alors pourquoi il gâchait toujours tout ? Posant un regard observateur sur elle. Cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vu en vrai. Et il fallait qu’il admette une chose, c’est que sa fille était une belle jeune femme. Elle ressemblait de plus en plus à sa mère étant jeune. Mais alors, ses paroles acerbes, marque de fabrique des Pearson, l’atteignit de plein fouet.
Il se rappelait alors la dernière discussion par SMS qu’il avait eu avec elle. Elle lui avait demandé pourquoi il la suivait sur les réseaux sociaux aussi soudainement. Finissant cette discussion en disant qu’il n’était pas prêt de parler de ce qui n’allait pas chez lui, de ce qui lui pesait sur le cœur. Même si c’était… Très évident. Sullivan… Et sa disparition. Cam avait comprit qu’il n’était pas prêt, et avait acceptée de lui laisser le temps d’être prêt à en parler. Alors il se dit qu’il devait lui aussi faire des efforts, du moins, avec elle. Et essayait d’arrêter de l’éloigner de lui encore plus. Il devait essayer de se rapprocher d’elle. Il lui devait bien ça. Et puis, peut-être que grâce à cela, il allait réussir à passer outre sa douleur ? Alors il soupira profondément, se passant une main dans les cheveux, de l’autre, il but une autre lampée de whisky et reposa le verre à moitié vide sur le bureau. Pour plonger ses yeux noirs dans ceux de sa fille. Un petit sourire triste se dessina sur son visage.
« Je suis désolé Cam’. Je vais recommencer… »
Il ferma les yeux quelques secondes, et prit une profonde aspiration. Allez Horace, tu pouvais le faire. Tu peux te montrer sympathique et intéressé par tes enfants. Après tout, quand ils étaient tout petits, tu étais comme ça avec eux.
« Que me vaut le plaisir de ta visite, ma fille ? »
Mer 18 Sep 2024 - 18:21
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