Dans les lumières vacillantes de Copenhague, Où la nuit s’étire comme un voile d’ombre, Calypso Fairchild naquit sous un ciel fragile, Son rêve de musique comme seule boussole.
Son âme écorchée, en quête d’éclat, Dans les clubs sombres, son art s’épanouit, Les mélodies étaient son refuge et son cri, Mais les ombres de la fête dissimulaient le trépas.
Abandonnée par les siens dans un monde de brume, Elle chercha un refuge dans des bras incertains, Des amours toxiques, où la violence et la dépendance La déchiraient, comme des éclats de verre dans le vin.
L’éclat du Danemark s’effaça dans un souffle, Vers New York, elle vogue, la ville des rêves déchus, Dans les gratte-ciel, elle chercha une lueur, Un élan pour briser les chaînes du passé tumultueux.
Mais chaque nuit, la musique était son salut, Un cri dans l’abîme, un espoir perdu, Et dans les refrains de ses DJ sets flamboyants, Elle danse encore, une étoile aux éclats vacillants.
Ainsi va Calypso, à la croisée des chemins, Entre gloire éphémère et luttes internes, Son cœur, une mélodie d’ombre et de lumière, Cherche encore son équilibre, un peu de paix dans l’éther.