1 ∙ Léonardo SALVO, je suis né à Milan, en Italie, d'une mère de nationalité Américaine et d'un père de nationalité Italienne. Ma mère a évolué pendant longtemps dans le milieu du mannequinat et mon père dans le milieu de l'immobilier. Ou du moins c'est ce que j'ai toujours cru... J'ai également une petite soeur, née quelques années après moi, avec qui j'ai toujours été très proche et très protecteur, presque fusionnel.
2 ∙ J'ai grandis sans jamais manqué de rien, mes parents gagnant plutôt bien leur vie et me couvrant de cadeaux. A l'époque je ne soupçonnais pas que l'aisance financière de mes parents n'était pas dû au hasard et que la descente aux enfers familiale ne faisait que commencer. Malgré plusieurs signes évidents, je refusais de croire que ma famille pouvait être lié à un milieu beaucoup plus sombre.
3 ∙ A 17 ans, n'étant pas forcément très à l'aise avec le milieu scolaire, mon père m'a très vite poussé à quitter l'école pour l'aider dans son business. J'ai assez vite accepté ce choix, enthousiasmé à l'idée de me faire mon propre argent et déjà plein d'ambition à me forger un avenir dans les affaires plutôt qu'à m'épuiser dans des salles de classes insipides. Pendant ce temps, la carrière de ma mère dans le mannequinat commençait à s'effondrer, perdant petit à petit ses plus gros contrats de marques, ce qui la fit lentement s'engouffrer dans la dépression.
4 ∙ 20 ans. Cela fait déjà plusieurs années que je travaille pour le compte de mon père mais mes journées ne sont pas aussi palpitantes que j'aurai pu l'espérer. Je passe la majeure partie de mon temps seul dans son bureau, à éplucher des dossiers d'achats immobiliers et à suivre des directives préétablis sans jamais prendre d'initiatives. Mon père passe la majeure partie de son temps hors du bureau sans me dire ce qu'il faisait. Ma mère quant à elle ne travaille plus et reste à la maison à s'occuper du foyer et plus particulièrement de ma sœur. Les absences récurrentes de mon père à la maison, ainsi que le travail et ma découverte de la vie nocture à Milan, m'isole progressivement du foyer.
5 ∙ A la veille de mes 24 ans, mes parents divorcent et ma mère décide de quitter Milan en emportant avec elle ma sœur, sans même me laisser le temps de lui dire au revoir. C'est un grand déchirement qui aura alors de lourdes répercussions sur mon style de vie, me plongeant petit à petit dans l'alcool et la fête. C'est également à cette période que je découvre enfin la vérité concernant mon père. Mes soupçons à son égard grandissaient jours après jours, et l'incohérence entre notre business et nos revenus m'ont convaincu à mener ma propre enquête.
6 ∙ Mon père, figure importante de mon existence, était en réalité lié à la Mafia italienne. Il l'avait toujours été. Son business immobilier était avant tout une couverture pour blanchir son argent et la majorité de ses dossiers étaient des acquisitions faites sous la menace et la contrainte. Il était également en grande partie lié au trafic de drogue dans la région Lombarde. Quand je découvris la vérité, mon père me menaça pour mon silence. S'engagea alors un bras de fer entre lui et moi, priant pour qu'il me laisse quitter définitivement ce qu'il restait de notre foyer et de me désolidariser de son business. Contraint de travailler encore plusieurs années à ses côtés et les tensions se multipliant, il décida finalement de me laisser partir, me rejetant et m'abandonnant seul dans Milan avec pour seul bagage, une mallette de billets d'argent sale, maigre compensation de mes années de business avec lui.
7 ∙ A ce moment de ma vie, j'ai un peu plus de 25 ans. Je décide alors d'investir mon argent dans ce que je maitrise alors le mieux, le business. Malgré la réputation de la sublime ville de Milan pour la mode et le design, je me tourne plutôt sur l'ouverture de plusieurs cafés, bars et restaurants. Mes établissements ayant progressivement leur petit succès, je fini même par ouvrir une petite boite de nuit en centre-ville. Cette décision sera cependant ce qui me mènera quelques années plus tard à couper définitivement tous liens avec l'Italie. Le succès de cette boite de nuit empiétait sur le business d'un établissement proche appartenant à la Mafia, et mon père fût contraint d'arrêter personnellement par tous les moyens possibles. Quotidiennement, des bandes armées furent envoyés pour saccager mes établissements qui se vidèrent instantanément de leur fidèle clientèle. Tout ce que j'avais pu entreprendre ici s'effondra du jour au lendemain. Privé de ma famille, de ma sœur que j'aimais tant, de ma mère qui avait coupé tout contact... Privé de l'amour et du soutien de mon père, qui m'avait enlevé la dernière chose qui me permettait de vivre et de m'attacher à cette ville qui m'avait vu grandir, je décidai de plier bagages et de partir loin, là où tout est possible, New York.
8 ∙ C'est donc à 28 ans que j'arrive à New York, troquant le prénom Léonardo pour James, le deuxième prénom choisi par ma mère. Une nouvelle vie débute pour moi, j'ouvre pour commencer un bar plutôt bien situé mais les débuts sont difficiles. Après un an de travail acharné, celui-ci commence à trouver son rythme de croisière. En parallèle, j'ouvre également une agence immobilière pour mon propre compte avec laquelle je gère quelques dossiers mais pas encore de quoi gagner énormément d'argent. Ma vie n'est pas de tout repos, dédiée avant tout au travail, je me suis juré de mieux gagner ma vie que mon père et de lui prouver que sans sombrer dans l'illégalité ou dans de sombres business, je pouvais mieux réussir ma vie que lui. Cependant certains démons continuent de s'accrocher à moi, notamment des problèmes d'alcools accompagnés parfois de violence. L'absence de ma mère et de ma sœur dans ma vie, m'empêchant d'être pleinement heureux dans cette nouvelle vie qui s'offre à moi, ici, à New York...
2 ∙ J'ai grandis sans jamais manqué de rien, mes parents gagnant plutôt bien leur vie et me couvrant de cadeaux. A l'époque je ne soupçonnais pas que l'aisance financière de mes parents n'était pas dû au hasard et que la descente aux enfers familiale ne faisait que commencer. Malgré plusieurs signes évidents, je refusais de croire que ma famille pouvait être lié à un milieu beaucoup plus sombre.
3 ∙ A 17 ans, n'étant pas forcément très à l'aise avec le milieu scolaire, mon père m'a très vite poussé à quitter l'école pour l'aider dans son business. J'ai assez vite accepté ce choix, enthousiasmé à l'idée de me faire mon propre argent et déjà plein d'ambition à me forger un avenir dans les affaires plutôt qu'à m'épuiser dans des salles de classes insipides. Pendant ce temps, la carrière de ma mère dans le mannequinat commençait à s'effondrer, perdant petit à petit ses plus gros contrats de marques, ce qui la fit lentement s'engouffrer dans la dépression.
4 ∙ 20 ans. Cela fait déjà plusieurs années que je travaille pour le compte de mon père mais mes journées ne sont pas aussi palpitantes que j'aurai pu l'espérer. Je passe la majeure partie de mon temps seul dans son bureau, à éplucher des dossiers d'achats immobiliers et à suivre des directives préétablis sans jamais prendre d'initiatives. Mon père passe la majeure partie de son temps hors du bureau sans me dire ce qu'il faisait. Ma mère quant à elle ne travaille plus et reste à la maison à s'occuper du foyer et plus particulièrement de ma sœur. Les absences récurrentes de mon père à la maison, ainsi que le travail et ma découverte de la vie nocture à Milan, m'isole progressivement du foyer.
5 ∙ A la veille de mes 24 ans, mes parents divorcent et ma mère décide de quitter Milan en emportant avec elle ma sœur, sans même me laisser le temps de lui dire au revoir. C'est un grand déchirement qui aura alors de lourdes répercussions sur mon style de vie, me plongeant petit à petit dans l'alcool et la fête. C'est également à cette période que je découvre enfin la vérité concernant mon père. Mes soupçons à son égard grandissaient jours après jours, et l'incohérence entre notre business et nos revenus m'ont convaincu à mener ma propre enquête.
6 ∙ Mon père, figure importante de mon existence, était en réalité lié à la Mafia italienne. Il l'avait toujours été. Son business immobilier était avant tout une couverture pour blanchir son argent et la majorité de ses dossiers étaient des acquisitions faites sous la menace et la contrainte. Il était également en grande partie lié au trafic de drogue dans la région Lombarde. Quand je découvris la vérité, mon père me menaça pour mon silence. S'engagea alors un bras de fer entre lui et moi, priant pour qu'il me laisse quitter définitivement ce qu'il restait de notre foyer et de me désolidariser de son business. Contraint de travailler encore plusieurs années à ses côtés et les tensions se multipliant, il décida finalement de me laisser partir, me rejetant et m'abandonnant seul dans Milan avec pour seul bagage, une mallette de billets d'argent sale, maigre compensation de mes années de business avec lui.
7 ∙ A ce moment de ma vie, j'ai un peu plus de 25 ans. Je décide alors d'investir mon argent dans ce que je maitrise alors le mieux, le business. Malgré la réputation de la sublime ville de Milan pour la mode et le design, je me tourne plutôt sur l'ouverture de plusieurs cafés, bars et restaurants. Mes établissements ayant progressivement leur petit succès, je fini même par ouvrir une petite boite de nuit en centre-ville. Cette décision sera cependant ce qui me mènera quelques années plus tard à couper définitivement tous liens avec l'Italie. Le succès de cette boite de nuit empiétait sur le business d'un établissement proche appartenant à la Mafia, et mon père fût contraint d'arrêter personnellement par tous les moyens possibles. Quotidiennement, des bandes armées furent envoyés pour saccager mes établissements qui se vidèrent instantanément de leur fidèle clientèle. Tout ce que j'avais pu entreprendre ici s'effondra du jour au lendemain. Privé de ma famille, de ma sœur que j'aimais tant, de ma mère qui avait coupé tout contact... Privé de l'amour et du soutien de mon père, qui m'avait enlevé la dernière chose qui me permettait de vivre et de m'attacher à cette ville qui m'avait vu grandir, je décidai de plier bagages et de partir loin, là où tout est possible, New York.
8 ∙ C'est donc à 28 ans que j'arrive à New York, troquant le prénom Léonardo pour James, le deuxième prénom choisi par ma mère. Une nouvelle vie débute pour moi, j'ouvre pour commencer un bar plutôt bien situé mais les débuts sont difficiles. Après un an de travail acharné, celui-ci commence à trouver son rythme de croisière. En parallèle, j'ouvre également une agence immobilière pour mon propre compte avec laquelle je gère quelques dossiers mais pas encore de quoi gagner énormément d'argent. Ma vie n'est pas de tout repos, dédiée avant tout au travail, je me suis juré de mieux gagner ma vie que mon père et de lui prouver que sans sombrer dans l'illégalité ou dans de sombres business, je pouvais mieux réussir ma vie que lui. Cependant certains démons continuent de s'accrocher à moi, notamment des problèmes d'alcools accompagnés parfois de violence. L'absence de ma mère et de ma sœur dans ma vie, m'empêchant d'être pleinement heureux dans cette nouvelle vie qui s'offre à moi, ici, à New York...
Audacieux ∙ Calculateur ∙ Calme ∙ Courageux ∙ Curieux ∙ Débrouillard ∙ Déterminé ∙ Droit ∙ Enervant ∙ Exigent ∙ Fidèle ∙ Franc ∙ Froid ∙ Gentil ∙ Généreux ∙ Impatient ∙ Joueur ∙ Juste ∙ Leader ∙ Loyal ∙ Malin ∙ Méfiant ∙ Méprisant ∙ Ouvert d'esprit ∙ Posé ∙ Prudent ∙ Rusé ∙ Sérieux ∙ Solitaire ∙ Taquin ∙ Vrai