Arthur Clifford, c'est toi, un homme qui incarne le paradoxe de l'humanité moderne. Né et ayant grandi à Los Angeles, enfin dans sa banlieue, tu as grandi à Campton pour être précis. Tes dents n'ont que trop souvent rayé le macadam là-bas, mais tu as façonné ton destin à la force de ta volonté et de tes ambitions, un véritable self-made man.
Tu te revois parfois, un gosse devant la télé. Scorsese, Al Pacino ou encore Sergio Leone, c'est eux qui ont créé Arthur Clifford. Ton parcours vibrant entre ombre et lumière est une ode aux films mafieux des années 80 qui t'ont tant inspiré. Ta détermination implacable et ton charisme indéniable, tout comme les personnages emblématiques de cette époque, reflètent une vie façonnée par les mystères et les défis de ce monde qui est le tiens. Tu te raccrochais à cela, parce que d’un point de vue personnel, ce n'était pas la joie.
Ton père, originaire du Sierra Leone, demeure une ombre dans ta vie que tu n'as jamais connue. C'est ta mère, une Américaine au cœur battant, qui t'a élevé et a forgé l'homme que tu es devenu. Tu sais qu'il était capitaine, un marin. Tu le sais... Ou tu aimerais que ça soit réellement le cas. Quelle différence de toute façon ?
Grâce, ou à cause de ces épreuves, tu crois en Dieu, implicitement, secrètement, pas vraiment finalement. Tu te questionnes sur cette foutue bonne étoile qui t'accompagne. Trop de fois, tu es passé entre les goûtes. Trop de fois, ça aurait dû être fini. Trop de fois, tu t'en est sorti. Finalement, il existe peut-être ce vieux père, au ciel. Pourquoi t'aime-t-il tant ? Tu n'as fait que lui causer du tort, pourtant.
Mais dans ton début de trentaine, pendant que tes activités commençaient à cartonner sur toute la côte Ouest, faut croire que Dieu t’a puni… Sophia, une fille venue d'Europe de l'Est. Son accent, ses longs cheveux blonds, sa manière de te dire qu'elle t'aimait, tout cela te rendait fou.. Cela est toujours gravé dans ta tête, et nul doute que tu ne l'oublieras jamais. Tu as supprimé les photos pensant qu'elle n'existerait plus, mais chaque jour elle vit en toi et te fais regretter de ne pas l'avoir écouté. Tu aurais dû raccrocher, tout arrêter, partir avec elle, vivre la bohème.
Mais t’es resté. L’appât du gain. A raison ou à tort. Après avoir gravi les échelons un à un, dans un période que tu ne mentionnes jamais, t’avais monté à LA un club de strip-tease dont la réputation sulfureuse n'était dépassée que par son succès. Puis, dans la ville de tous les possibles, New York, tu as ouvert un établissement semblable, attirant l'attention et suscitant la controverse. T’es qu’une racaille à col blanc finalement, un businessman véreux dont les méthodes sont aussi douteuses que le sourire est charmant.
Ta vie est un foutu jeu d'ombres et de lumières, où les néons de ton club cachent des transactions obscures et des alliances dangereuses. Et ça a toujours été le cas. Pourtant, tu avances toujours avec cette détermination implacable et ce charisme indéniable, enflammant les âmes et suscitant l'admiration autant que la méfiance.
Comme le disait si bien Oscar Wilde, "La seule chose que le monde écoute, c’est un homme qui sait où il va." Et toi, Arthur, tu sembles toujours savoir où tu vas, même si le chemin est pavé de doutes et de mystères, et parfois de merde, n’ayons pas peur de le dire. C'est cette confiance aveugle en toi-même qui t'a poussé à débarquer à New York. Faut croire que Los Angeles était trop petit pour toi. Tu veux le Monde.
Tu te revois parfois, un gosse devant la télé. Scorsese, Al Pacino ou encore Sergio Leone, c'est eux qui ont créé Arthur Clifford. Ton parcours vibrant entre ombre et lumière est une ode aux films mafieux des années 80 qui t'ont tant inspiré. Ta détermination implacable et ton charisme indéniable, tout comme les personnages emblématiques de cette époque, reflètent une vie façonnée par les mystères et les défis de ce monde qui est le tiens. Tu te raccrochais à cela, parce que d’un point de vue personnel, ce n'était pas la joie.
Ton père, originaire du Sierra Leone, demeure une ombre dans ta vie que tu n'as jamais connue. C'est ta mère, une Américaine au cœur battant, qui t'a élevé et a forgé l'homme que tu es devenu. Tu sais qu'il était capitaine, un marin. Tu le sais... Ou tu aimerais que ça soit réellement le cas. Quelle différence de toute façon ?
Grâce, ou à cause de ces épreuves, tu crois en Dieu, implicitement, secrètement, pas vraiment finalement. Tu te questionnes sur cette foutue bonne étoile qui t'accompagne. Trop de fois, tu es passé entre les goûtes. Trop de fois, ça aurait dû être fini. Trop de fois, tu t'en est sorti. Finalement, il existe peut-être ce vieux père, au ciel. Pourquoi t'aime-t-il tant ? Tu n'as fait que lui causer du tort, pourtant.
Mais dans ton début de trentaine, pendant que tes activités commençaient à cartonner sur toute la côte Ouest, faut croire que Dieu t’a puni… Sophia, une fille venue d'Europe de l'Est. Son accent, ses longs cheveux blonds, sa manière de te dire qu'elle t'aimait, tout cela te rendait fou.. Cela est toujours gravé dans ta tête, et nul doute que tu ne l'oublieras jamais. Tu as supprimé les photos pensant qu'elle n'existerait plus, mais chaque jour elle vit en toi et te fais regretter de ne pas l'avoir écouté. Tu aurais dû raccrocher, tout arrêter, partir avec elle, vivre la bohème.
Mais t’es resté. L’appât du gain. A raison ou à tort. Après avoir gravi les échelons un à un, dans un période que tu ne mentionnes jamais, t’avais monté à LA un club de strip-tease dont la réputation sulfureuse n'était dépassée que par son succès. Puis, dans la ville de tous les possibles, New York, tu as ouvert un établissement semblable, attirant l'attention et suscitant la controverse. T’es qu’une racaille à col blanc finalement, un businessman véreux dont les méthodes sont aussi douteuses que le sourire est charmant.
Ta vie est un foutu jeu d'ombres et de lumières, où les néons de ton club cachent des transactions obscures et des alliances dangereuses. Et ça a toujours été le cas. Pourtant, tu avances toujours avec cette détermination implacable et ce charisme indéniable, enflammant les âmes et suscitant l'admiration autant que la méfiance.
Comme le disait si bien Oscar Wilde, "La seule chose que le monde écoute, c’est un homme qui sait où il va." Et toi, Arthur, tu sembles toujours savoir où tu vas, même si le chemin est pavé de doutes et de mystères, et parfois de merde, n’ayons pas peur de le dire. C'est cette confiance aveugle en toi-même qui t'a poussé à débarquer à New York. Faut croire que Los Angeles était trop petit pour toi. Tu veux le Monde.
Tu es une personne dont la présence en impose. Ton charisme, tel un aimant irrésistible, attire les regards, et captive les âmes. À chaque sourire, tu sèmes des graines de chaleur, et ton naturel avenant t’ouvre les portes des cœurs les plus réticents. Quelle facilité avec les gens. Ta détermination, quant à elle, est telle qu'elle pourrait déplacer des montagnes, forgeant ta route avec une persistance inébranlable.
Cependant, cet éclat brillant n’est pas sans ombres. Ton esprit calculateur te pousse à manipuler événements et personnes, toujours en quête de l'avantage, ta seule foutue raison de vivre. Ton impulsivité te trahit souvent, te jetant dans des situations précaires par manque de réflexion. Et cette vanité… Subtilement voilée sous ton charme, révèle parfois une confiance excessive en tes propres capacités, te rendant sourd aux conseils des autres.
Comme l'écrivait si justement Oscar Wilde, "L'homme est moins lui-même quand il parle en son propre nom. Donnez-lui un masque, et il vous dira la vérité." Derrière ce masque charismatique et bienveillant, des défauts se cachent, te rendant complexe, fascinant et imparfaitement humain.
Cependant, cet éclat brillant n’est pas sans ombres. Ton esprit calculateur te pousse à manipuler événements et personnes, toujours en quête de l'avantage, ta seule foutue raison de vivre. Ton impulsivité te trahit souvent, te jetant dans des situations précaires par manque de réflexion. Et cette vanité… Subtilement voilée sous ton charme, révèle parfois une confiance excessive en tes propres capacités, te rendant sourd aux conseils des autres.
Comme l'écrivait si justement Oscar Wilde, "L'homme est moins lui-même quand il parle en son propre nom. Donnez-lui un masque, et il vous dira la vérité." Derrière ce masque charismatique et bienveillant, des défauts se cachent, te rendant complexe, fascinant et imparfaitement humain.