1 ∙ Premier fils de Jairo et Suzan Jordaens, enfant venu au monde au sein d’un couple aimant et uni, lors de mes premières années de vie. Assez rapidement rejoint par Maarten, ce petit frère qui est complètement mon opposé, puis Pippa, petite sœur adoptive qui n’aura jamais réussi à réellement créer de lien avec notre paternel.
2 ∙ Mon amour pour l’automobile, je le prends très jeune, posé sur un karting par mon père, c’est une évidence dès mes tout premiers tours de roues et rapidement un rêve se met en place : Celui de faire de moi un pilote, un champion, une légende. Un rêve qu’à toujours eu mon père, mais qu’il n’a jamais pu réaliser, une sorte de seconde chance pour lui, qui s’est lancée dans le plus grand défi de sa vie, mettant toute sa vie entre parenthèses pour son fils aîné, pour moi.
3 ∙ Je suis très proche de ma mère, un lien fusionnel nous unis, mais le divorce de mes parents était une évidence, un soulagement pour eux, comme pour chacun des trois enfants. Un objectif à tenir qui a fait que j’ai passé beaucoup plus de temps aux côtés de mon père, ne réalisant pas l’absence qu’il est venu créer auprès de mon frère et de ma sœur, elle qui n’a jamais réellement réussi à créer de lien avec lui.
4 ∙ Toute ma vie a été écrite et basé sur les règles que mon père est venu me dicter, me formatant, sans me rendre compte, à devenir un guerrier sur la piste, à venir démarquer l’enfant, adolescent, puis homme, au pilote qui a gravit les échelons années après années.
5 ∙ Une présence constante, un pilier dans ma carrière, mais une relation abusive sans même que je n’en ai conscience, la preuve en est avec mon histoire avec Lulu, cette femme dont j’étais amoureux, cette femme pour qui je suis venu poser mes valises peu avant le début de la saison 2021. Quelques mois de bonheur, avant la désillusion, celle d’un homme célibataire, qui a vu sa copine ne pas supporter la médiatisation d’une année qui est pour moi celle de la consécration ultime. Je ne suis pas au courant des pressions, des petits jeux de mon père, naïf à son sujet, comme je l’ai toujours été.
6 ∙ Les gens aiment me détester ou déteste m’aimer, c’est au choix, une popularité grandissante qui est venue créer cette image de Thelio Jordaens, ce pilote arrogant, prétentieux, imbu de sa personne, qui est incapable de reconnaitre le moindre de ses torts et avec qui personne ne pourrait s’entendre. Pourtant, je suis loin d’être cette personne, m’entendant avec beaucoup de monde dans les paddocks, ayant le cœur sur la main, mais pour cela, il faut me connaitre, mais me connaître moi, l’homme. Comme Zeliah par exemple, cette femme connue dans la rue, qui m’a touché et que j’ai eu l’envie d’aider, dans la plus grande ignorance de la popularité de mon sport.
7 ∙ New-York n’est pas seulement rattaché au lieu de Lulu, de cette histoire devenue le passé pour moi, mais aussi le rattachement à une partie de ma famille que je suis venu retrouver, que j’ai appris à connaître. Eux avec qui le contact fut si difficile, traversant de nombreuses averses, pour réussir à s’appréhender, me permettant d’être proche de mon cousin, complice même.
8 ∙ Je suis un adepte et grand amateur de simracing, le monde de l’automobile c’est ce qui me fait vivre, ma raison de vivre. Une légende est en marche du côté de la formule un, ayant la ferme intention d’inscrire mon nom parmis les meilleurs de ce sport, mais ce que j’aime le plus au monde, c’est gagner et cet univers virtuel est doté de beaucoup de talent que je ne maîtrise pas encore. Une passion, un passe temps, qui me permet de m’améliorer, de devenir encore meilleur sur une vraie piste, un esprit de compétition que je n’abandonne pas, ayant même monté une équipe virtuel.
2 ∙ Mon amour pour l’automobile, je le prends très jeune, posé sur un karting par mon père, c’est une évidence dès mes tout premiers tours de roues et rapidement un rêve se met en place : Celui de faire de moi un pilote, un champion, une légende. Un rêve qu’à toujours eu mon père, mais qu’il n’a jamais pu réaliser, une sorte de seconde chance pour lui, qui s’est lancée dans le plus grand défi de sa vie, mettant toute sa vie entre parenthèses pour son fils aîné, pour moi.
3 ∙ Je suis très proche de ma mère, un lien fusionnel nous unis, mais le divorce de mes parents était une évidence, un soulagement pour eux, comme pour chacun des trois enfants. Un objectif à tenir qui a fait que j’ai passé beaucoup plus de temps aux côtés de mon père, ne réalisant pas l’absence qu’il est venu créer auprès de mon frère et de ma sœur, elle qui n’a jamais réellement réussi à créer de lien avec lui.
4 ∙ Toute ma vie a été écrite et basé sur les règles que mon père est venu me dicter, me formatant, sans me rendre compte, à devenir un guerrier sur la piste, à venir démarquer l’enfant, adolescent, puis homme, au pilote qui a gravit les échelons années après années.
5 ∙ Une présence constante, un pilier dans ma carrière, mais une relation abusive sans même que je n’en ai conscience, la preuve en est avec mon histoire avec Lulu, cette femme dont j’étais amoureux, cette femme pour qui je suis venu poser mes valises peu avant le début de la saison 2021. Quelques mois de bonheur, avant la désillusion, celle d’un homme célibataire, qui a vu sa copine ne pas supporter la médiatisation d’une année qui est pour moi celle de la consécration ultime. Je ne suis pas au courant des pressions, des petits jeux de mon père, naïf à son sujet, comme je l’ai toujours été.
6 ∙ Les gens aiment me détester ou déteste m’aimer, c’est au choix, une popularité grandissante qui est venue créer cette image de Thelio Jordaens, ce pilote arrogant, prétentieux, imbu de sa personne, qui est incapable de reconnaitre le moindre de ses torts et avec qui personne ne pourrait s’entendre. Pourtant, je suis loin d’être cette personne, m’entendant avec beaucoup de monde dans les paddocks, ayant le cœur sur la main, mais pour cela, il faut me connaitre, mais me connaître moi, l’homme. Comme Zeliah par exemple, cette femme connue dans la rue, qui m’a touché et que j’ai eu l’envie d’aider, dans la plus grande ignorance de la popularité de mon sport.
7 ∙ New-York n’est pas seulement rattaché au lieu de Lulu, de cette histoire devenue le passé pour moi, mais aussi le rattachement à une partie de ma famille que je suis venu retrouver, que j’ai appris à connaître. Eux avec qui le contact fut si difficile, traversant de nombreuses averses, pour réussir à s’appréhender, me permettant d’être proche de mon cousin, complice même.
8 ∙ Je suis un adepte et grand amateur de simracing, le monde de l’automobile c’est ce qui me fait vivre, ma raison de vivre. Une légende est en marche du côté de la formule un, ayant la ferme intention d’inscrire mon nom parmis les meilleurs de ce sport, mais ce que j’aime le plus au monde, c’est gagner et cet univers virtuel est doté de beaucoup de talent que je ne maîtrise pas encore. Une passion, un passe temps, qui me permet de m’améliorer, de devenir encore meilleur sur une vraie piste, un esprit de compétition que je n’abandonne pas, ayant même monté une équipe virtuel.
imbu de sa personne et incapable de se remettre en question ∙ c’est l’image que je reviens de moi, du pilote que je suis, cette image de marque que je maitrise à la perfection et qui pousse les gens à aimer me détester ou à détester m’aimer. — persévérant ∙ rien ne peut me faire douter de mon talent, j’ai fini par imprimer les propos de mon père, je suis le meilleur et je veux le prouver au monde entier — sous la coupole d’un père étouffant ∙ il ne le fait pas à mal, il ne le fait pas méchamment, il ne s’en rend même pas compte, moi non plus d’ailleurs — présent pour les autres ∙ une partie de moi qui se cache derrière cette carapace, cette image que je renvois de moi, présent pour mon entourage, mais à ma manière, ne rentrant pas toujours dans les codes — généreux ∙ dix pourcents de mon salaire est reversé à une association au soutien des femmes battues, dans la plus grande ignorance de tous — quelqu’un d’à part ∙ qu’on aime ou qu’on aime pas, la réalité c’est que je n’accorde pas la moindre importance à ceux qui ne m’aime pas, je suis comme je suis — naïf ∙ je ne réalise pas l’impact trop importante qu’à mon père sur moi, le petit garçon qui veut l’impressionner est toujours au fond de moi.